S2EP2 Comment traiter n’importe quelle phobie ?
Qu’il s’agisse de la peur de conduire, de parler en public qu’on appelle la glossophobie, de phobie sociale ou de phobie d’impulsion, vous allez accéder de fait à des explications quant au mécanisme du problème, mais aussi et surtout à des solutions.
Alors, il existe des phobies à propos de tous les éléments constituant le quotidien d’un individu. Ainsi nous pouvons considérer qu’il existe des centaines, voire des milliers de symptômes qui s’apparentent à la phobie et dès lors il existe un lien fort entre la phobie et l’angoisse.
Les phobies correspondent à une crainte angoissante d’une situation ou d’une action à venir, ainsi beaucoup de gens souffrent d’arachnophobie qui est la peur des araignées, de phobie des oiseaux, d’aquaphobie et il y a donc plusieurs dizaines voire centaine de phobies référencées.
La phobie est donc une peur, une angoisse, centrée sur une situation particulière et cette situation est symptomatique. J’entends par là que le problème est le symptôme d’un autre problème. La phobie est une réaction de peur d’incapacité involontaire, et partant, non contrôlée à propos de quelque chose qui vous effraie comme lorsqu’on dit que l’arbre masque la forêt. Il s’agit alors d’une impossibilité à aborder une situation ou un événement sans crainte, par exemple, vous pouvez avoir une phobie des araignées, une phobie des oiseaux, la phobie de l’avion, la phobie de manger des œufs, et j’en passe.
La phobie est donc une réaction à propos de l’idée terrifiante que vous vous faites, si d’aventure en intégrant l’objet de votre phobie, il se passe quelque chose qui vous fait perdre le contrôle de votre vie. Et à la seule éventualité de faire ce que vous redoutez de faire, vous êtes victime la plupart du temps d’une angoisse terrible. Et tout en essayant de contrôler votre émotion, par exemple, si vous avez la phobie des oiseaux, ce qu’on appelle l’ornitophobie, vous essayez de contrôler votre phobie, votre peur, votre angoisse et pour ce faire vous vous rapprochez de ces volatiles.
Alors, c’est un acte courageux mais bien inutile, il risque de renforcer votre phobie.
En effet, à la première envolée alors que vous êtes déjà tendus à l’idée de ce rapprochement, vous risquez d’être victime d’une crise d’angoisse, et il en est de même si d’aventure vous consommez un plat, par exemple, dont vous avez peur qu’il vous rende malade, ce qu’on appelle une phobie alimentaire.
Comme souvent, la phobie se construit dans l’enfance, cela signifie qu’il s’agit d’une peur irraisonnée et difficilement contrôlable et fréquemment, les personnes souffrant de ce problème sont aussi atteintes de troubles anxieux. En effet, la crainte récurrente d’être face à son problème génère un état de tension permanent. Ce type de problème s’apparente à un besoin de tout contrôler pour se rassurer, ou du moins son environnement.
L’idée est de pratiquer l’évitement de sortes à ne pas être victime de ce problème, ce qui a bien évidemment un effet inverse à celui souhaité.
Dans certains cas il s’agit de la résurgence d’un événement traumatique, ce qui laisse penser qu’il est difficile de se débarrasser d’une phobie, à plus forte raison, si elle a un lien avec l’enfance.
Or, traiter une phobie est relativement simple en termes de stratégie comportementale, au contraire de ce que disent beaucoup de professionnels. Traiter une phobie, laquelle est souvent aggravée par des troubles obsessionnels compulsifs, ce qu’on appelle des TOCS, nécessite une compréhension de la personnalité de la victime.
L’approche comportementale est en cela un outil extraordinaire pour comprendre les mécanismes liés à l’expression de cette angoisse et c’est en identifiant, dans quel contexte et dans quel environnement ce problème existe mais aussi en identifiant et en analysant les tentatives de solutions du patient que l’on traite ce problème.
Nul n’est besoin de prescrire des médicaments pour satisfaire cet objectif et bien que ce problème génère des troubles dépressifs voire une dépression, les antidépresseurs sont de peu d’effets, ou alors ces prescriptions doivent être accompagnées d’une prise en charge thérapeutique adaptée. En règle générale de 7 à 8 consultations suffisent pour vous assurer un traitement définitif et au cours du travail thérapeutique il est très important de s’assurer que, l’objet phobique ne se transfère pas en un autre problème.
C’est précisément ce que facilite l’approche comportementale telle que je la pratique depuis plus de 25 ans maintenant. J’ai écrit un certain nombre d’articles au sujet des phobies, ces articles méritent d’être enrichis par de nouveaux articles, mais le temps me manque pour satisfaire toutes les demandes d’études de cas qui me sont adressées.
Pour autant, il y a souvent une similitude entre le problème dont vous souffrez, le trouble phobique, et l’angoisse. C’est la raison pour laquelle je vous invite à consulter et à lire tous les articles de mon blog à propos de l’angoisse et vous pouvez vous y rendre directement à l’aide de mon site.
Si vous souffrez de peur de vous faire du mal ou de peur de faire du mal aux autres, ce qu’on appelle une phobie d’impulsion, je vous invite aussi à consulter une vidéo qui vous propose une solution rapide que vous trouverez toujours dans le cadre du programme comportemental au sein de mon blog.
Revenons à la phobie d’une façon plus générale, puisque la phobie n’est pas autre chose qu’un symptôme de l’angoisse et malheureusement la plupart du temps les personnes victimes de phobie focalisent leur attention sur l’objet phobique et non sur les éléments qui constituent cette phobie, par exemple, ceci a pour effet de traiter la phobie de l’avion mais pas le problème, le vrai problème c’est l’angoisse, l’avion en est le support.
Si on prend deux exemples de quelqu’un qui a peur en avion.
Depuis plusieurs années, certaines compagnies aériennes délivrent des stages au cours desquels les personnes qui souffrent de cette phobie essayent d’apprendre à mieux appréhender les conditions d’un vol pour avoir moins peur en cas de besoin.
Ce qu’on essaie à ce moment-là tout simplement de faire c’est de vous faire raisonner à propos de quelque chose qui échappe à toute intellectualisation, à toute rationalisation. De la même façon qu’il est vain et ridicule d’asséner à quelqu’un qu’il ou elle n’a aucune raison d’avoir peur en avion puisque c’est le moyen de transport le plus sûr au monde.
La personne qui souffre d’une phobie exprime sa peur et pour la contrôler elle instaure inconsciemment une phobie qui a pour vocation de la protéger de ce qui lui fait peur.
Alors, de quoi a-t-elle peur cette personne ? Eh bien, que l’avion ait éventuellement un accident technique qui le fasse s’écraser ou qu’elle ait si peur qu’elle se montre dans une telle difficulté au cours d’un vol qu’elle en conçoive de la honte et de la culpabilité, ou encore que l’avion s’écrase ou explose en plein vol. Peut-être est-ce tout cela, et encore un tas d’autres choses, et sans doute bien d’autres de ces choses, et après c’est précisément ce qui préoccupe considérablement la personne atteinte de phobie et c’est précisément ce qui fait le lien entre la phobie et l’angoisse.
Effectivement, la phobie est un symptôme d’angoisse.
Souffrir d’une telle difficulté c’est se protéger de quelque chose qui nous terrifie, c’est nous tenir à distance d’une situation ou d’un individu ou d’un groupe de personnes, dont on a toutes les raisons de craindre qu’en leur présence en situation on perde la maîtrise de soi. Ce qui fait qu’une personne souffre de ces types de peur c’est la crainte de ne pouvoir contrôler ses comportements, sa vie en quelques sortes. Cette même personne se protège de son angoisse car ce qui l’angoisse, c’est l’idée projectile qu’elle se fait à propos de ce qu’il se passe si elle est directement en proie à l’objet de sa peur et partant, les conséquences qu’elle craint d’avoir à le supporter.
Ce que je vous raconte dans l’histoire d’Emilie, cette jeune femme de 25 ans qui est terrorisée par les pigeons de Paris comme par d’autres oiseaux d’ailleurs et vous constatez combien son angoisse résonne à l’évocation de sa phobie.
J’en profite d’ailleurs pour vous raconter comment, cette jeune femme, courageusement, après un bref travail thérapeutique à mon cabinet a su favoriser son bien-être et mettre un terme à une peur très invalidante car, en matière d’invalidité il existe des phobies très spéciales.
Le miracle de l’homme moderne ou comment les hommes essaient de contrôler leurs angoisses en se faisant du mal, c’est le propre de la phobie. C’est le principe fondateur de toutes les phobies et parmi toutes celles référencées il existe des phobies particulièrement étranges. L’homme est ainsi fait qu’il se dote d’une capacité créative extraordinaire quand il s’agit d’éviter quelque chose qui lui pose problème et le ramène à lui-même.
Ca fait écho un petit peu à la phobie de Monsieur Thévenoux qui était, je vous le rappelle, un député français qui était atteint de phobie administrative qui est un problème à propos duquel bien des gens ont crié et crient encore au scandale alors que c’est une pure vérité.
C’est un peu comme les maladies, faut-il avoir un cancer au minimum pour exprimer ses souffrances et être légitime à l’exprimer ? La question demeure posée, je vous laisse le soin d’y répondre.
Autre question posée, quel est le principe des phobies ?
Et bien, les phobies sont une façon qui embobine une autre de contrôler une peur plus souterraine, plus enfouie, de fait, les phobies ont un avantage celui de permettre à la personne qui en est victime de se protéger. Et c’est en contrôlant son environnement que la personne intéressée a le sentiment justement de se protéger.
Le problème de la phobie réside, pour partie en tout cas, dans le fait que la personne installe consciemment ou non une stratégie qui, au début, lui permet de se sentir plus en sécurité par rapport à un problème donné. Et si l’idée de départ est intéressante, force est de constater que le temps aidant, la personne atteinte de phobie perd le contrôle du contrôle et ça signifie que la personne phobique renforce son contrôle au gré du temps qui passe et ceci parce que le sentiment de sécurité diminue d’autant ce qui hier est un bénéfice devient un problème, et donne un résultat encore inverse à l’effet initial.
La phobie dont une personne est victime n’a rien d’innocent et c’est souvent un point à considérer comme traumatique, comme objet phobique et ça c’est particulièrement utile et important. Imaginons quelqu’un qui a peur du vent ou de porter des vêtements, de porter la barbe, ça existe, chacune de ces phobies si étonnantes a un lien une signification de traumatisme initial. D’ailleurs, encore une fois, en cherchant sur mon blog vous trouverez la liste de ces phobies particulièrement étonnantes.
Ainsi je vous parlais plus haut d’une patiente atteinte de la phobie des oiseaux, elle habite à Paris, et elle a tous les motifs d’être particulièrement gênée. A propos de cette jeune femme et en travaillant à l’aide de l’approche systémique de Paolo Alto qui est donc l’approche comportementale, celle-ci m’a permis de comprendre que l’ornitophobie dont elle est victime a une signification symbolique.
En effet, son traumatisme initial trouve sa source dans une rupture sentimentale brutale, rupture au cours de laquelle au moment même de la rupture une envolée d’oiseaux a eu lieu, ce qui sur le moment la terrorise. Comme quoi, rien n’est jamais totalement innocent et mérite d’être pris en compte, même l’élément qui semble le plus insignifiant.
Nous vivons tous avec les phobies, plus ou moins prononcées, les plus communes étant celles concernant les araignées, les serpents ou l’altitude. Alors bien que l’arachnophobie ou l’acrophobie – la peur des hauteurs – soient parmi les plus fréquentes, il en existe une assez spécifique : la phobie sociale. Et il me semble important de faire un lien entre cette forme de phobie et son axe principal : la honte et la culpabilité.
En effet, trop souvent les personnes qui me contactent souffrent de qui est convenu d’appeler de l’anxiété sociale et ces deux personnes m’expliquent combien les deux émotions précédemment citées rajoutent à leur problème.
La phobie sociale c’est une peur donc une angoisse que les personnes rencontrent à l’idée de rentrer en contact avec une ou plusieurs personnes, que ceci ait lieu dans un cadre affectif, familial, social ou professionnel, ça ne change pas grand-chose à ces troubles anxieux. Les symptômes de cette phobie sont identiques à ceux issus des angoisses mais ces symptômes sont aggravés par un sentiment de honte et de culpabilité.
Les personnes victimes de ces angoisses ne sont pas responsables de leur incapacité à entrer en relation avec les autres. Ils ne subissent pas ce problème pour le plaisir de cultiver leur différence, ces personnes sont atteintes d’une peur projective, qui est la peur de mal dire ou la peur de mal faire, et leur phobie repose la plupart du temps sur des comparaisons qu’elles ne peuvent s’empêcher de faire entre les autres et elles-mêmes.
Comme vous avez pu éventuellement le lire dans d’autres articles que j’ai publiés au sein de mon blog, l’anxiété est la forme récurrente de l’angoisse, il s’agit donc d’angoisses qui atteignent la personne intéressée à propos d’un sujet spécifique de sa vie ou qui affectent tous les domaines de sa vie et à ce moment on parle d’anxiété généralisée ça signifie que tous les domaines de sa vie sont impactés par cette angoisse permanente qui est donc elle-même un facteur d’anxiété.
L’anxiété sociale induit que la personne qui en souffre voit tous les domaines rationnels de sa vie impactés ou les domaines relationnels de sa vie impactés, de la même façon que, à propos de la phobie du même type, toutes relations de toutes nature ont un caractère possible à surmonter et ceci quel qu’en soit le contexte et l’environnement.
La plupart du temps, les personnes victimes de ce trouble anxieux sont isolées, pas par choix, mais parce que, de façon paradoxale, c’est leur seule façon de se protéger de ce qui leur fait si peur.
Les personnes phobiques sociales souffrent d’autant plus de leurs problèmes qu’ils manquent d’estime d’eux-mêmes. Un petit peu comme un manque de confiance en soi.
Et malgré tous leurs efforts pour créer du lien il leur est très difficile de dépasser leur problème, au point que d’ailleurs leur bonne volonté à ce propos peut-être très fortement et rudement mise à l’épreuve, en effet, les symptômes qui accompagnent ces types de phobie, alors les symptômes qui sont la transpiration, des tremblements, le bégaiement, aggravent le problème perçu et ces symptômes peuvent aussi déteindre sur la personne au point qu’elle devient victime d’anxiété sociale ce qui est pire, parce que plus elles y sont exposées et plus elles l’évitent.
Alors, comme je le dis et que je l’écris souvent, ce comportement réactif d’évitement est inversement proportionnel à l’objectif souhaité, il va sans dire que c’est sur la foi de symptômes spécifiques associés à leur problème, que ces personnes réagissent ainsi.
Les symptômes physiques de cette phobie, que ce soit de l’anxiété ou d’autre chose, qui sont souvent les mêmes comme je le disais, il s’agit de transpiration, de mains moites, de bégaiement, de nausées, voire de diarrhées ou de maux d’estomacs, d’accélération du rythme cardiaque, d’une difficulté voire d’une incapacité à contrôler ses émotions, des envies de fuir, la mésestime de soi, l’agressivité involontaire et encore une fois de l’évitement et des épisodes dépressifs voire une dépression. Comme vous le constatez, ces symptômes liés à ce type de phobie sont particulièrement douloureux et handicapants. Handicapants au sens où leur présence annoncée, redoutée ou vécue, empêche la personne de se comporter comme elle le souhaite, ce qui signifie avoir des relations comme tout le monde.
Ce dernier point est l’un des fondements de cette phobie. En effet, la personne phobique ne peut s’empêcher de faire des comparaisons entre les autres et elle-même, ce qui renforce son sentiment d’impuissance et génère de la colère, et nonobstant la honte et la culpabilité que cette même personne nourrit à son égard, c’est la façon qu’elle a de se juger quant à son impossibilité de sortir de son isolement. Il est avéré que toute tentative pour reprendre le contrôle de façon contrainte est vouée à l’échec, échec au sens de renforcement de la phobie.
Cette phobie relève d’un blocage émotionnel issu de la perception qu’un individu a de lui-même dans un contexte et un environnement donné. Nul n’est besoin d’être premier clerc de notaire pour imaginer qu’une personne phobique fut sans doute victime d’humiliations dans son enfance et que cela existe dans la sphère de relations sociales affectives ou familiales ou encore sentimentales et dès lors, il est difficile de se sentir en sécurité quand il s’agit de créer du lien, de la relation. Le traumatisme ainsi créé dans l’enfance ou au cours de la construction de la personnalité situe un frein traumatique qu’il est impossible de lever sur la seule volonté et pour soigner cette forme de phobie, ou assurer la personne victime d’un traitement adapté à son cas, il faut explorer certaines pistes thérapeutiques.
A la faveur de différents articles rédigés au sein de mon blog je vous précise les différents moyens pour soigner l’angoisse et ainsi, je vous explique en quoi la psychiatrie n’est pas nécessairement le meilleur mode d’interprétation thérapeutique, j’évoque aussi les problèmes que posent la prise de médicaments.
Un médecin psychiatre a pour vocation de diagnostiquer un ou des troubles au sens du DSM5, le DSM5 étant la bible des maladies dites psychiatriques, et en fonction de ce diagnostic le médecin prescrit des médicaments et ceux-ci ont pour fonction, bien évidemment, que le patient ne soit plus affecté par les symptômes de sa phobie.
La prise de médicaments, que ça soit des anxiolytiques des neuroleptiques des hypnotiques ou des antidépresseurs, n’est jamais sans conséquences et je vous rappelle que la prescription de ces médicaments nécessite une prise en continu et ce pendant un délai de trois à six semaines pour avoir un effet thérapeutique.
Ensuite, un tel traitement dure au minimum 6 mois, voire quand ça n’est pas plus, et si vous saviez le nombre de personnes qui viennent à mon cabinet alors qu’elles sont toutes sous médicaments depuis des années, sans amélioration notable, vous seriez édifiés et en conséquences, je considère que les médicaments et la psychiatrie ne sont nullement adaptés pour traiter une phobie, du coup la question se pose de savoir comment faire.
Alors, entendons-nous bien, je n’ai rien contre les psychiatres et la psychiatrie mais il convient d’arrêter de faire n’importe quoi dans la prise en charge d’un certain nombre de problèmes émotionnels et ceci vaut quant à savoir comment se débarrasser d’une phobie.
D’une façon générale en matière de phobie, nous savons ce qui pose problème et en conséquences, il suffit d’identifier le mécanisme d’un problème et ensuite prescrire des exercices comportementaux adaptés à la personne qui souffre.
Il n’est pas nécessaire d’exposer la personne en souffrance à son mal pour lui apprendre à contrôler son problème, quand j’ai peur de quelque chose ou de quelqu’un, j’ai peur, un point c’est tout, on peut donc raconter la messe dans toutes les langues que je ne connais pas, on peut essayer de me convaincre que je n’ai pas de raisons d’avoir peur, rien n’y fait, j’ai peur, je suis victime d’angoisse et il n’en est pas autrement, je ne le fais pas exprès, il existe donc des moyens très simples pour aider quelqu’un à ne plus souffrir de phobies et par exemple, seul un coaching comportemental permet cela, et c’est la plus efficace des solutions.
En effet je parle d’exercices thérapeutiques qui ont fait leurs preuves ils ont pour vocation d’aider la personne à progressivement débloquer son problème de phobies et ce sur un temps très court. En cela, je vous parle de thérapie brève c’est-à-dire faciliter l’identification de la source pour neutraliser son impact traumatique, puis permettre un retour à l’estime de soi et partant, à la confiance en soi.
Ces exercices plus communément appelés des taches dans le domaine de l’approche comportementale et ces taches ont pour vocation de favoriser une solution simple et progressive dans le respect du patient et on procède de la même façon quand il s’agit par exemple, de timidité. Du coup, ce que je vous offre dès maintenant, c’est de vaincre la phobie dont vous êtes victime en moins de deux mois et ce de façon naturelle c’est-à-dire sans médicaments, pour ce faire vous allez trouver un lien dans la description de ce podcast qui vas vous permettre de regarder une vidéo de présentation dans laquelle je vous explique comment définitivement vaincre une phobie et retrouver confiance en soi.